La fin est proche mes amis...

Je dois dire que plus la fin arrive, plus j'ai peur de partir. On s'était habitué à notre routine, nos amis, nos traditions... Et là, tout cet inconu, ces inconus. J'ai jamais eu peur de me lancer, surtout avec la tête dure et ma soif de connaissance. Pourtant, en ce moment j'ai la trouille. j'ai peur de regretter, de m'ennuyé, de penser au passé et de voir tout ceux que j'ai laissé au passe. Marianne, Pierre-Alexandre, Blance, Jessica, Christine, Roxanne, Étienne, Simon, Annabelle,  Julien, biens des gens que j'ai laisser tomber, abandonné parce que j'avais peur de connaitre d'avantage. Aux rites on nous a dit : Dites bonne chances èa ceux que vous ne reverrai pas.. J'aurais dut leur dire bien avant car je l'ai croise en inconnu, ou presque, maintenant. C'est quand on abandonne ces visages, ces rires, ces souvenirs derrière nous qu'on réalise à quel point ils étaient important finalement. Je voudrais pas passé ma vie entière à regretter ni à vivre dans le passé. Mais je m'apprête, on s'apprête à tout laisser de côté, en arrère.. Trop loin en arrière et j'ai peur

J'ai l'impression d'être une petite fille qui aimait trop les allumettes, j'ai tellement besoin d'extérioriser mes peurs que je ne me relirai pas. La peur n'est pas parfaite dans son orthographe.. elle est laide, sans rythme mais elle fait mal. Elle nous poigne tranquilement en sachant très bien que nos pensé n'iront qu'à elle. C'est cette peur qui m'angoisse, puisque pendant les deux prochaine semaine je défendrai Cinq année passé à étudier, apprendre, grandir. Je ne veux pas échoué pour avoir un diplome bidon d'école aux adultes. Je veux rester une enfant encore un ans, Juste un année sur les bancs rassurant de cette école.  Simplement parce que affronter le changement fait peur, fait extrêment peur qu'on aime mieux éviter et rester cloué dans son passé. Ce que j'exécute avec facilité et brio. J'ai un tantinet tandence à m'accrocher aux souvenirs puérils puisqu'il est plus facile de remarqué les plaies ouvertes que les cicatrices, que la peau encore fraiche et sans erraflure.

OUI mes chers, Regna me manquera

Mais je tire ma révérance avec mes angoisses, puisque je ne les apaiserai certainement pas ce mati

car biensur, il est 2hoo du matin.