De l'action et un oeil au beurre noir

Je me rappelle de m'avoir pointé au Théatre Olympia avec seulement un coton ouaté et mon ticket en plein mois de mars. Pratiquement seule au millieu de centaines d'autres jeunes tout aussi febrile que moi d'entré dans la fameuse salle. Plusieurs rumeurs circulent: Le théatres Olympia, pour un show de Hardocre? il n'ont pas peur de brisé les lustres au plafond?

L'entrer laisse passé le son des guitards de mes groupes préférés qui pratique en vu de la soirée qui m'attend. Je crois que la plus belle rencontrer fut celle d'un de mes amis de Wawrick. Je suis heureuse de savoir qu'un spétacle peu raprocher autant de jeune à travers le Québec. Les portes s'ouvrent et les Gardiens nous laisse peu à peu entrer dans la salle. C'est magnifique, intime, un très beau décord qui fait un contraste avec la musique qu'on y entend. Les jeunes défilent, se jugeant, laissant les regard couler sur leur style, le agissement. On dirait presque un concours de personnalité.

Une note, un seule petite note qui brise l'ambiance fébrile et commence ma soirée. Le premier groupe entre sur la scène sous les applaudissement et les cris de la foule. Trois chansons passe, le foule embarque dans une danse éffrenée. La pause, on reprent son souffle, on partage nos opinions et on attend la prochaine performance.

Underoath commence les premières notes de ma chanson favorite, je connais si bien cette toune que mon coeur s'embale et je me rapproche de la scène. Je ne vie que pour les notes de cette toune et je joint ma voix à celle du chanteur. Chaque spectacle est noveau, chaque performance me laisse sans voix. J'imagine que c'est le plus beau cadeaux qu'on peu me donner : la joie de rejoindre le chanteur dans l'art qu'il me propose. Laisser mon coeur battre la mesure.

Un spectable n'est pas que des notes, c'est le sentiment qui nous oprime la poitrine et transporte dans un autre univers l'espace d'une minute, d'une heure. Même si lors du du spectacle, on m'a heurter, j'en ressort le coeur léger et l'oeil gonfler et noir. Un seul coup, bien ou mal placé selon les point de vue, me laisse la marque d'un soirée marquante. Bien que la violence reste un partie de la culture hardcore, il ne faut pas que retenir les blessures, Ils guérissent mais le souvenir de ce moment intime avec un groupe de musique reste..